Retour intégrateur – Jérôme Gérard, Monbana
“Nous avions des problèmes de recrutement à ce niveau-là, donc nous devions adapter les postes.”
Retour d’expérience de Jérôme Gérard, responsable adjoint de site de production chez Monbana sur l’intégration du Japet.W.
Rencontre avec Jérôme Gérard, responsable adjoint du site de Saint-Sauveur, chez Monbana depuis plus de 25 ans. Il revient sur l’intégration et l’utilisation de l’exosquelette Japet.W.
Quelle était la problématique majeure avant de mettre en place l’exosquelette ?
Chez Monbana, la grosse problématique, c’était le dos et notamment le recrutement sur ce poste-là, qui est très physique. Avant de mettre en place l’exosquelette, nous avons adapté le poste avec des tables levantes.
Qu’est-ce qui vous a amené à enclencher une démarche d’utilisation d’exosquelette ?
Nous avions des problèmes de recrutement à ce niveau-là et donc nous devions adapter les postes. Je pense que ça va être une démarche globale de l’entreprise, car nous avons le poste de mélangeur, qui est un travail physique, et nous souhaitons aussi l’intégrer pour les filles, car nous l’avons aussi utilisé sur ligne et que ça a bien marché. Pourquoi pas l’année prochaine en avoir d’autres au conditionnement.
Comment l’exosquelette Japet.W est-il utilisé dans votre entreprise ?
Nous nous sommes tournés vers l’exosquelette Japet puisque pour nous nous trouvions que c’était la solution la plus adaptée à nos postes de travail.
Il est utilisé essentiellement pour cinq personnes, pour l’instant, au niveau des mélanges, car ils soulèvent des sacs de 25 kilos au quotidien pour la fabrication. Et ensuite, on espère les mettre en place sur ligne de conditionnement pour des filles qui soulèvent des cartons de 10 kilos.
Comment est-il perçu par les utilisateurs ?
Les garçons sont moins fatigués, ils ont moins de problèmes de dos. L’exosquelette est très bien perçu par les utilisateurs. On prend soin de leur santé, c’est actuellement primordial. Si nous avons de nouvelles recrues, on fera exactement la même chose pour eux.
Un mot pour la fin ?
Nous sommes très contents d’avoir travaillé avec la société Japet qui nous suit très bien sur le domaine des exosquelettes. On est très bien accompagné et on veut continuer en 2023 sur les lignes de conditionnement. Je pense que ça va être l’avenir.