Retour utilisateur – Anthony Hurez, Engie Solutions

« L’exosquelette soulage mes douleurs liées au travail en posture debout prolongée. »
Retour d’expérience d’Anthony Hurez sur l’utilisation de l’exosquelette Japet.W.

Anthony Hurez, responsable d’équipe exploitation, chez Engie Solutions Valenciennes, est équipé de l’exosquelette Japet.W. Retour sur son utilisation !

Quelles sont les difficultés que vous rencontrez dans votre métier ?

Chez Engie, je suis amené à rencontrer très régulièrement des clients, que ça soit aller directement sur le terrain ou visiter des sites (clients industriels, tertiaires et bâtiments communaux).

Au cours de ces visites, je reste debout, et quand je reste trop longtemps dans cette position, j’ai des douleurs qui apparaissent. Ces douleurs m’empêchent de me concentrer sur mes échanges avec le client et de me déplacer. En fin de journée, le ressenti n’est pas des plus agréable.

Comment avez-vous entendu parler de Japet ?

J’ai entendu parler de Japet par notre mission handicap et notre ergonome, Léo Lemoine (Retrouvez son interview) qui est en partenariat avec notre préventrice. C’est la mission handicap de chez Engie Solutions qui m’a proposé d’essayer cet exosquelette.

Vos impressions sur le dispositif ?

Au début, j’avais quelques appréhensions, notamment sur le regard des gens ou sur comment l’utiliser.

Tout d’abord, pour le regard des gens, il suffit d’expliquer. Je vais régulièrement sur site avec l’exosquelette et, même si au début ça a été source d’interrogation, je leur explique clairement. Bien au contraire, ils sont à l’écoute de ce système.

L’exosquelette est très simple d’utilisation, il suffit de quelques secondes pour l’installer sur soi. Il se transporte aussi très facilement : c’est devenu quelque chose que je transporte en permanence avec moi. Et quand je suis sur site, je le mets au même titre que je mettrais mes chaussures de sécurité.

L’exosquelette soulage mes douleurs et l’irritabilité liées au travail en posture debout prolongée. On apprécie plus sa journée, et le soir chez soi, on s’aperçoit qu’on n’a pas eu mal. C’est vraiment appréciable.

Un petit mot pour conclure ?

Alors il y a la phrase simple qui va être : l’essayer, c’est l’adopter. Mais plus sérieusement, je dirais que c’est révolutionnaire. Cela permet de vraiment retrouver une autonomie.

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